« La France commence à légiférer pour encadrer les adoptions internationales. Trop tard pour les enfants adoptés devenus adultes qui découvrent avoir fait les frais d’un trafic. Derrière la belle histoire des petits pauvres adoptés par les Occidentaux, nombreux sont ceux à avoir été volés ou achetés, à l’insu de parents biologiques qui ne savent souvent ni lire ni écrire. Aujourd’hui encore, l’État peine à reconnaître sa responsabilité. »
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