« La plupart des travaux de recherche montrent que les taux de prévalence de l’exploitation sexuelle à l’enfance ou à l’adolescence sont plus élevés chez les filles que chez les garçons. Des études soulignent tout de même qu’entre 1 % et 5 % des garçons rapportent avoir déjà échangé des services sexuels contre de la drogue ou de l’argent […]. Or, cette estimation de la prévalence ne met en lumière qu’une partie de la réalité, alors que d’autres formes d’exploitation sexuelle, notamment en ligne, sont vécues par les garçons, mais encore peu documentées. »
Publié deux fois par an par le Centre québécois de recherche universitaire sur les jeunes et les familles, ce bulletin regroupe des études réalisées partout à travers le monde.