Résumé : « L’annonce, en novembre 2021, du premier plan national de lutte contre la prostitution des mineur·e·s manifeste la volonté de l’État de se saisir enfin d’une problématique qui, si elle n’est pas nouvelle, prend aujourd’hui une ampleur sans précédent. Les territoires de la politique de la ville n’y font pas exception, aux dires des professionnel·le·s. Stéphanie Gaudillat, ancienne directrice d’une structure d’accompagnement des personnes en prostitution, aujourd’hui consultante et formatrice, s’intéresse plus particulièrement aux conséquences de la prostitution des mineur·e·s en matière de santé. »

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