« Le séisme dévastateur et meurtrier subi par Haïti en janvier 2010 a porté une nouvelle fois et brutalement sur le devant de la scène médiatique mondialisée la question de l’adoption d’enfants victimes du sous-développement : Est-ce une bonne réponse aux malheurs d’un pays pauvre ? Peut-elle régler les problèmes posés par l’enfance dans les pays du Tiers-monde ? Ne doit-on pas encadrer davantage l’adoption Internationale [André-Trevennec, 2008] Et chacun de prendre position pour ou contre l’adoption internationale, d’ériger en règle générale ou en loi commune tel ou tel cas de son entourage. Le regard de l’historien, s’appuyant sur des sources identifiées et une démarche construite permet de prendre du recul, de mettre en perspective les événements présents et passés [Denéchère, 2011]. »