Malgré des efforts pour contrer le problème de l’exploitation sexuelle des jeunes au Québec, des lacunes dans les services psychosociaux demeurent importantes. L’équipe menée par Nadine Lanctôt de l’Université de Sherbrooke explore les facteurs qui contribuent ou qui nuisent à l’efficacité des pratiques de prévention auprès des victimes et des proxénètes.
Publié en janvier 2025, ce rapport met en avant que des intervenants bien formés et accompagnés sont mieux préparés pour établir une relation de confiance, orienter les jeunes vers des services adaptés et contribuer à briser les cycles d’exploitation.
Un projet appuyé par le Ministère de la Sécurité publique du Québec (MSP) et le Fonds de recherche du Québec.